iamifede

Balade en Musique : Une Histoire d’Amour

Mélancolique, triste, pleine d’amour et d’entrain, elle souvent est une compagne très fidèle. Je me suis en un soir calme et plutôt froid écouté une sélection de chansons d’amour françaises, oui on en écoute tous et il m’est venu une idée, celle d’utiliser les titres de ces chansons, pour une composition personnelle, un poème. Les titres sont en gras et juste après, entre parenthèses, le ou les auteur(s). Toutes mes pistes audio ne me renseignaient pas toujours sur le nom de l’interprète, alors je me suis certaines fois fié à internet. 

love-music

Ce soir comme l’autre je veux te dire Retiens La Nuit (Johnny Hallyday),

Arrête le temps, et allons-y Pour un Flirt (Michel Delpech), celui de minuit.

Je suis prêt à sur une mélodie de Ne Me Quitte Pas(Jacques Brel),

Te chanter L’Hymne à l’Amour (Édith Piaf), oui c’est mon choix.

Toi, Femme Que J’Aime (Jean), des ailes tu me donnes Quand Tu M’Embrasses (Charles Aznavour).

Je t’ai souvent entendu, demander poliment Parlez-Moi d’Amour (Marie Laforêt),

J’essaie enfin mais J’Aurais Voulu Te Dire(Caroline Legrand) cela depuis le matin des jours.

J’aime, j’adore ce moment où mon visage arbore Le Sourire d’un Môme (The Flow)

Pour ce qui chaque fois redevient Le Premier Pas (Claude-Michel Schönberg), et qui n’est jamais monotone.

Je m’en rappelle encore, d’hier, je voyais passé L’Amour dans La Rue (K),

Et Je Me Suis Fait Tout Petit (Georges Brassens), c’était toi, sur la terrasse du bar à l’angle de la rue.

A mon meilleur ami, l’autre dans ma tête, je chantais ;Elle a Les Yeux Revolver (Marc Lavoine).

Déjà je peignais un tableau fait de Toi et Moi (Guillaume Grand), poésie assaisonnée  de vers.

Belle (Patrick Fiori / Garou / Daniel Lavoie), voilà encore comme aujourd’hui je te vois,

Et tout le temps Tu Me Manques (Grégoire), en plein été j’ai toujours froid.

L’amour ça fait se rendre compte que Le Bon Dieu Est une Femme (Corneille),

Voilà la raison pour laquelle A Toutes Les Filles (Didier Barbelivien / Félix Gray) et tous les jours chacun d’entre nous déclare sa flamme.

Je parle ici de Ceux Qui S’Aiment d’Amour (Michel Fugain) et pas des sauteurs,

De celles qui demandent : «Est-Ce Que Tu Viens Pour Les Vacances ?» (David & Jonathan), pour prendre de la hauteur.

Car souvent elles et surtout Elle Imagine (Nacash) une frêle sécurité

Ce petit doute dans sa voix, elle nous veut juste En Haute Fidélité (Noé Willer).

Même quand sa meilleure copine la ramène sur Terre, elle lui répond : Laisse-Moi Rêver (Lara Fabian).

Cette nuit, moi, J’ai Encore Rêvé d’Elle (Il Était une Fois), de nous et malgré mon sexe, je vois La Vie en Rose (Édith Piaf).

Il ne peut en être autrement Quand on a Que l’Amour (Jacques Brel), sans pause.

Un mur blanc que l’on repeint de Mots Bleus (Christophe),

Un mur qu’on ouvre pour laisse voyager jusqu’au creux de ses oreilles un O Sole Mio (Dalida) et tant pis si l’écho rebondit dans les cieux.

Tant pis si on me dit malade. J’accepte volontiers la Maladie d’Amour (Henri Salvador)

J’en prends le risque même si on m’a souvent répéter que l’on en guérit pas toujours.

Alors dit moi petite âme et chère sœur, Qu’est-Ce Qu’on Attend Pour Être Heureux?  (Ray Ventura)

Et si on fermait la porte au nez à ceux qui disent qu’Il n’y a Pas d’Amour Heureux (Barbara) !

Rien que toi et moi, ce soir et pour toujours dansant langoureusement  au rythme de ces mélodies qui tristes ou joyeuses cadenceront cet engagement, nous rappelant qu’il n’est pas fait d’une ligne droite et qu’il nous faudra continuer la route en musique.


Petit marteau casse caillou

Une remarque, des interrogations en guise de cadeau que je me suis fait le 26 septembre, jour où chaque année le mémorial de mon arrivé dans cet univers je célèbre, un quotidien. C’est presque naturel, tellement c’est devenu banal. Seulement si ça reste inchangé longtemps…

Le coup sera un jour bien puissant.
A l’image des populations qui cassent avec de petits marteaux, de très grosses pierres.

Quelque chose va mal dehors, les gens vont mal là dehors, c’est une évidence. Tu n’as pas envie d’y aller faire un tour même si tu y es depuis toujours. Ils disent que le chef couche avec la femme du voleur. Le voleur, lui va faire des galipettes avec la bien-aimée du commandant. Le gigolo du quartier le fait avec la femme du chef. Voilà, les scènes les plus banales. Tous le voient, le savent, mais chacun ses problèmes. Ils disent aussi le prêtre prie pour le voleur. Il invoque le Saint Esprit, pour protéger, assurer les arrières de celui qui fera du mal autour de lui (cela dépends du côté de la barrière où vous êtes). Aider par son homologue qui crie vers Allah pour les mêmes raisons ; il faut bien faire manger son cercle !

On voit tous ce qui se passe dehors, mais on n’a pas assez de force pour faire danser nos lèvres. On le  vit ce qui se passe dehors. Ils le savent alors une formule, et quand ils le jugent important (aller savoir pour qui), ils disent : « Mange ce qu’on te sert même si c’est des miettes et nettoie vite ta bouche que personne ne le sache ».

Quand on a fait de force un jeun dont on ignore soi même la durée, on réfléchi moins, ferme les yeux et ouvre grand la bouche. Quoique ce soit, il faut l’avaler. Du moment où on pourra le soir, voir le soleil se coucher avec un sourire, fusse t-il feint.

Ca va mal dehors. On le sait, vous le savez et surtout eux le savent mais les maillons de la chaîne sont de mieux en mieux forgés, solide presqu’indestructible  et grandissent en nombre. Seulement, est ce pour autant qu’ils sont invincibles ? Les histoires entre minorité engraissée (M) et majorité chétive (m), on connait tous ; donc on ne repeindra pas le tableau. Mais il y a toujours possibilité de rajouter des couleurs n’est ce pas ? Vu que c’est ‘’m’’ qui d’une manière où d’une autre, souvent inconsciemment dessiner les courbes de ‘’M’’ et le fourre.

Si c’est toujours vrai qu’un petit marteau casse un gros caillou, il faut que la main qui porte le marteau apporte une force équivalente, que dis-je, plus grande que la résistance que peut opposer ce caillou.

Quelque chose va mal là dehors. Vous n’en voulez plus ? Et aussi ne voulez plus être dans cette servitude, ce modèle établi pour que vous ne fassiez que servir, au point que cela est devenu une habitude, une seconde nature, pourvu que cela ramène un bout de pain sur la table ?

Prenez votre marteau et tapez aussi fort que vous pourrez.

Mais une interrogation pour finir, votre marteau, il sera fait de quoi ??


Chez moi c’est…Mondoblog 2014

Après une longue réflexion de courte durée sur ce dont parlera mon tout premier article en tant que mondoblogueur, je décide de faire un retour en arrière. C’est surement le symbole, du recul pour un bon élan; mais c’est avant toutes autres choses, un moment rempli de gratitude et de remerciements.

Je blogue depuis un très court moment, et pas très régulièrement, mais je le fais parce que j’aime ça. L’opportunité de le faire ici, avec la magnifique équipe #mondoblog est un rêve, et d’ailleurs je me pince encore pour me rassurer du fait d’y être vraiment. J’ai été poussé et soutenu par des personnes à qui je voudrais dire merci.

Aux discours brefs, se reconnaissent les chefs 🙂 Trêve de préliminaires, « Chez moi c’est… »  voilà l’intitulé du thème du concours de cette année, et voici comment je m’y suis pris : cliquez sur ce lien https://speroadjobo.wordpress.com/2014/07/05/chez-moi-cest-malgre-tout-clair/

Ce lien vous conduira à l’article que j’ai envoyé dans le cadre de ce concours, publié sur mon blog personnel.

A très vite chers lecteurs, et entrez dans mon ilé* où dans la marmite, mijotent déjà tout pleins d’ingrédients.


*maison en yoruba